La duplicité et la félonie sont-elles des vertus syndicalistes?
« Quand la mémoire veut ramasser du bois, elle peut ne rapporter que le fagot qui lui plait. »
Cette maxime tirée des contes d’Amadou Coumba de l’illustre écrivain Birago Diop justifie à bien des égards la plaidoirie du fameux député Ibra Diouf Niokhobaye qui s’est acharné contre les enseignants pour simplement se faire un nom et du coup mériter les éloges du Président Abdoulaye Wade lors des négociations. En effet, son attitude qui dénote la félonie et la duplicité ne me laisse guère penaud puisque l’ayant connu depuis 1990 alors qu’il était mon professeur de sciences naturelles en 6ème au collège d’enseignement moyen Fadilou Diop de Pikine. C’est dans ce même établissement que les éléves de 3ème de l’époque lui avaient infligé une sévère correction qu’il n’oubliera pas de sitôt à cause de son bras fracturé.
Par ailleurs, ajoutons que son syndicat l’ADES (Association Disgrâcieuse des Enseignants du Souverain) n’est, pour un sage, qu’un mouvement de soutien au parti Etatique d’où leur slogan « Collectif pour sauver l’année.»
Une chose reste indéniable il veut troquer le mouvement syndical contre la députation mais, croyez-moi, chers collègues, ce n’est qu’un coup d’épée dans l’eau. Une telle perfidie m’incite à paraphraser Molière dans sa pièce, Les Femmes Savantes :
« Et pour n’avoir personne à sa députation contraire
Jusqu’au chien du palais, il veut plaire. »
Cette maxime tirée des contes d’Amadou Coumba de l’illustre écrivain Birago Diop justifie à bien des égards la plaidoirie du fameux député Ibra Diouf Niokhobaye qui s’est acharné contre les enseignants pour simplement se faire un nom et du coup mériter les éloges du Président Abdoulaye Wade lors des négociations. En effet, son attitude qui dénote la félonie et la duplicité ne me laisse guère penaud puisque l’ayant connu depuis 1990 alors qu’il était mon professeur de sciences naturelles en 6ème au collège d’enseignement moyen Fadilou Diop de Pikine. C’est dans ce même établissement que les éléves de 3ème de l’époque lui avaient infligé une sévère correction qu’il n’oubliera pas de sitôt à cause de son bras fracturé.
Par ailleurs, ajoutons que son syndicat l’ADES (Association Disgrâcieuse des Enseignants du Souverain) n’est, pour un sage, qu’un mouvement de soutien au parti Etatique d’où leur slogan « Collectif pour sauver l’année.»
Une chose reste indéniable il veut troquer le mouvement syndical contre la députation mais, croyez-moi, chers collègues, ce n’est qu’un coup d’épée dans l’eau. Une telle perfidie m’incite à paraphraser Molière dans sa pièce, Les Femmes Savantes :
« Et pour n’avoir personne à sa députation contraire
Jusqu’au chien du palais, il veut plaire. »
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